Nom : Maboroshi
Prénom : Yojimbo
Age : Soixante et un ans
Sexe : Masculin
Aspect physique : Une chose est sûre lorsque l’on pose les yeux sur lui, Yojimbo n’est pas de toute première fraîcheur. Les innombrables rides rayent son visage de part et d’autre, formant des creux, des plis, des bosses. La barbe mal rasée, laissée pour compte depuis plusieurs jours et les cernes profondes sous ses yeux sont prompts à susciter les préjugés, à se questionner sur son hygiène de vie. Outre cela, il affiche toujours clairement une gueule de truand, ce qui contraste fortement avec sa profession. Ses sourcils perpétuellement froncés lui donnent un air renfrogné tandis que ses pommettes creusées contribuent à imprimer une allure de sociopathe impossible à approcher.
Au niveau de ses mensurations, le vieux ninja mesure un mètre quatre-vingt-huit pour nonante-deux kilogrammes. Plutôt massif donc, dans l’ensemble, ce qui contribue encore à instaurer cet atmosphère oppressante lorsque l’on est en sa présence.
Avec un peu d’observation, on remarque aisément qu’il semble pertinemment fatigué, les cernes sous les yeux. Son boulot usant aussi physiquement que mentalement l’a miné durant de nombreuses années. Ses mains sont très abîmées, preuves de leurs utilisations continues et autres erreurs en maniant moult armes.
Ses cheveux plats, courts, gras mais brun sont les derniers témoins du fait qu’il ait eu une jeunesse avant d’être ce qu’il est maintenant, un vieillard aguerri et épuisé. Du moins, en surface. Car en combat, Maboroshi à tendance à faire fortement oublier ce côté « je-m’en-foutiste » et totalement miné jusqu’à la moelle tant il peut être surprenant de vivacité.
C’est également un fumeur invétéré, toujours une clope à la bouche. En outre, il affectionne beaucoup l’alcool et une bouteille en argile l’accompagne perpétuellement, accrochée à sa ceinture.
Pour finir, vu sa spécialisation dans la filature, Yojimbo se doit d’avoir une vue sans faille. C’est pour cela qu’il porte une paire de lunettes spéciales.
Il porte le bandeau de son village à l'articulation de son bras gauche.
Caractère général : Yojimbo est une personne excessivement accrochée au passé. Il attend la mort en repensant à l’histoire de sa propre vie. C’est totalement immergée dans le regret que se trouve sa raison d’être. Le summum de sa gloire, de son honneur, de sa fierté, de son courage, de son patriotisme, de ses espoirs, de sa vie en somme, se trouve derrière lui. Il se surprend souvent à rêvasser d’un moment particulièrement choquant – en bien ou en mal - de sa vie.
Même s’il accorde une grande importance aux années précédents sa situation de maintenant, Yojimbo n’est pas assez naïf pour vivre dedans. Il sait que tout cela est bel et bien terminé. Sans doute est-ce cette réaction qui développa en lui un cynisme outrancier. Car, indubitablement, Maboroshi ne se trouve pas être l’homme le plus heureux du monde. C’est un homme qui, lorsqu’il sent l’odeur des fleurs, cherche où se trouve le cercueil. Un homme qui connaît le prix de tout et la valeur de rien. Un homme qui, lorsqu’il entend les oisillons chanter, se demande pourquoi le chasseur ne les a pas encore abattu. Un homme cynique, en résumé.
Agrémentant cette noirceur désabusée, l’homme s’arme de piques et de répliques sarcastiques, d’un ton ironique agressif et blessant. Il a tendance à rabaisser les autres pour s’imposer comme valeur dominante dans une conversation. Dans cette prolongation, cet homme est la preuve même que la franchise n’est certainement pas une bonne chose. Ce que tout le monde pense tout bas, il le dit tout haut, et en pire, cela s’entend. Personne ne sait réellement s’il s’amuse en clouant le bec de ceux qu’il juge trop embêtant – c’est-à-dire, la quasi-totalité des gens – mais son ton doucereux prodiguant une certaine irritation le laisse à penser. Il est du genre à faire des interventions superfétatoires, histoire d’en rajouter une couche.
Si on outrepasse ce côté malhabile emprunté à un sociopathe atterrant, le cinquantenaire s’avère gentil, à sa manière évidemment. Son côté raillard change de la violence verbale à l’antipathie légère, dans le genre « Qui aime bien, châtie bien ». Pour arriver à doser parfaitement cette mesure, il n’y a pas de manière pré requise et linéaire. C’est à l’instinct, soit Maboroshi vous aime sur le coup – grâce à une phrase qu’il a bien apprécié, d’un geste qu’il encense ou tout autre action qui lui tient à cœur -, soit il faut faire avec le temps, et là, ça peut durer des plombes. Le patriarche ne se laisse plus régir par des règles d’éthiques ou de bon sens moral. En fin de vie tel qu’il l’est, il ne fonctionne plus qu’à l’instinct, ne juge plus que par son instinct. Heureusement, il a le flair pour ces choses là. Quand il accord sa confiance à quelqu’un, il ne faut donc pas croire que c’est à la légère comme peut le supposer les apparences.
Au niveau de ces facultés intellectuelles, le vieillard n’est pas en marge. Doué d’une expérience plus que certaine, il connaît les choses de la vie et les petites astuces qui permettent de faciliter quelconque tâche. L’esprit vif et encore alerte, il est dans la capacité de réagir promptement, intelligemment, et ce, tout en gardant son flegme le plus poussé. Néanmoins, cette vivacité est bloquée par une chose, la peur de la mort, qu’il n’a plus. Cette particularité lui donne le don de se foutre de bon nombre de chose, le danger, par exemple. Il n’est pas suicidaire, mais il lui arrive de s’exposer fortement sans que cela ne l’atteigne particulièrement. Mais cela ne gâte pas toute la sauce, son intellect supérieur et son expérience militaire fait qu’il est naturellement doué pour la guerre, pour mener des hommes.
En somme, Yojimbo Maboroshi est une personne très difficile à vivre mais qui s’avère attachante par moment, lorsque, par exemple, il raconte des bribes de son passé, le regard chargé d’émotions. Son expérience vis-à-vis du monde peut s’avérer fort utile au sein d’une équipe.
Style de combat : Yojimbo maîtrise un art martial étrange. Car, effectivement, c’est un spécialiste en Genjutsu. Cette seule donnée n’a, en soi, rien d’insolite mais il se démarque par le fait que c’est aussi un puissant combattant en Taijutsu, ce qui diffère des utilisateurs de Genjutsu qui, à l’accoutumée, cherche le combat à mi-distance ou à distance.
Caractéristiques souhaitées : Entre 30 et 40? 35 alors?
- Ninjutsu : 8
- Genjutsu : 15
- Taijutsu : 12
Aime : Le tabac, l’alcool, les femmes, les gens en particulier, lui-même, l’hiver, diriger, etc.
N’aime pas : Les gens en général, la désobéissance, le manque de respect, et pas mal d’autre chose
Village : Kiri No Kuni
Grade : Juunin, membre du corps enseignant à l’Académie.
Equipe : /
Techniques :
Pour les coûts en chakra et les dégâts, j’avoue avoir fait cela un peu au hasard, ignorant comment vous vous êtes débrouillé pour structurer ce rapport. A vous de voir si ce que j’ai mis vous paraît raisonnable.
Démembrement :
Coût en chakra : 20
Caractéristiques nécessitées : Nin : ? Gen : ? Taï : ?
Technique de Genjutsu au corps à corps. Elle permet d’envoyer un influx de chakra dans le système nerveux de l’adversaire, lui faisant croire que le membre touché (Bras ou jambes) se fait littéralement arracher.
Dégâts : 35 + 3 à chaque tour (L’adversaire croyant être atteint d’une sévère hémorragie)
Kokuangyou no jutsu
Coût en chakra: 18
Caractéristiques nécessitées: Nin: 5 Gen: 10 Taï: 0
Technique ultime de camouflage dans le noir complet, qui rend l'opposant aveugle à toute attaque. ( -1 aux dés de l'attaque et de la défense de l'adversaire pour la prochaine attaque (et défense))
Ascension de la Montagne :
Coût en chakra : 15
Caractéristiques nécessitées : Nin : ? Gen : ? Taï : ?
Enchaînement de Taijutsu. L’utilisateur « glisse » sur le sol et utilise la force de son bras pour soulever son corps, pied en avant, qui va se caler sous le menton de l’ennemi, l’élevant ainsi dans les airs. Dans cette même position, les coups de pieds fusent alors que l’assaillant et l’assailli monte plus haut à chaque nouveau coup. Arrivé à une certaine haute, l’attaquant effectue un salto avant, charge son pied de chakra, et assène un violent coup de talon sur le sommet du crâne de l’antagoniste.
Dégâts : 47
Mirage :
Coût en chakra : ?
Caractéristique nécessitées : Nin : ? Gen : ? Taï : ?
Technique de Genjutsu au corps à corps. Les adversaires enchaînent quelques coups. Puis, l’utilisateur, à l’aide d’un influx de chakra incrusté dans le système nerveux de l’adversaire, fait croire à ce dernier qu’il se bat toujours contre quelqu’un alors que l'usager de la technique peut très bien l’attaquer par derrière ou bien tout simplement s’enfuir.
Effet : Fait se battre l’ennemi contre un adversaire imaginaire.
Histoire : A venir